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- Antoine Bozio
(IPP - Institut des politiques publiques, PSE - Paris School of Economics - UP1 - Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne - ENS-PSL - École normale supérieure - Paris - PSL - Université Paris Sciences et Lettres - EHESS - École des hautes études en sciences sociales - ENPC - École des Ponts ParisTech - CNRS - Centre National de la Recherche Scientifique - INRAE - Institut National de Recherche pour l’Agriculture, l’Alimentation et l’Environnement, PJSE - Paris Jourdan Sciences Economiques - UP1 - Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne - ENS-PSL - École normale supérieure - Paris - PSL - Université Paris Sciences et Lettres - INRA - Institut National de la Recherche Agronomique - EHESS - École des hautes études en sciences sociales - ENPC - École des Ponts ParisTech - CNRS - Centre National de la Recherche Scientifique)
- Sophie Cottet
(IPP - Institut des politiques publiques)
- Marion Monnet
(IPP - Institut des politiques publiques)
Abstract
La maîtrise du déficit public était clairement affichée comme l'une des priorités du candidat François Hollande lors de sa campagne présidentielle de 2012. Il prévoyait de faire passer le déficit public en dessous de la barre des 3 % dès 2013, puis d'atteindre l'équilibre budgétaire en 2017. Or, le déficit réalisé s'avère être au-dessus de ces prévisions, en partie parce que la stratégie de réduction du déficit reposait sur des hypothèses de croissance qui ne se sont pas matérialisées. Si le redressement des finances publiques a été plus lent qu'anticipé, les différentes mesures adoptées au cours de la période 2012-2017 ont toutefois significativement contribué à la réduction du déficit, qui se concentre essentiellement sur les deux premières années du quinquennat avec d'importantes hausses des prélèvements obligatoires. Les mesures relatives aux prélèvements obligatoires n'avaient pas cependant pour unique objectif de réduire le déficit. Des réductions de prélèvements obligatoires ont également été adoptées en faveur de l'emploi et de la compétitivité, ou encore de l'environnement. Les mesures relatives aux dépenses publiques sont en revanche beaucoup plus difficiles à retracer et les montants impliqués sont bien plus modestes. Enfin, la baisse des dépenses de l'État est attribuable en grande partie à une diminution de la charge de la dette.
Suggested Citation
Antoine Bozio & Sophie Cottet & Marion Monnet, 2017.
"Bilan du quinquennat 2012-2017 : les finances publiques,"
Institut des Politiques Publiques
halshs-02522822, HAL.
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